PIANO DE JUILLET
16
sept.
2015
CE ROI LOINTAIN
EXTRAIT
BnF-PARIS.TOLBIAC
Piano de juillet que l’on plaçait sous le frêne si délicat d’octobre, vagues d’écumes dans la lenteur moussue du parc, robes noires que le jour échancrait dans la brûlure des yeux jusqu’au froid céleste des longues jambes qui s’éloignaient, plus proches encore lorsque la musique et les visages tournoyants se confondaient avec l’équipage des oiseaux et le buis hauturier du ciel, piano de juillet que l’on plaçait sous le frêne si délicat d’octobre.
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