L'HÉRÉSIE FUSANTE DE LA NUIT
21
juin
2020
Le passant énonce la pierre, lui attribue sa mémoire, une écriture éprise par les ailes marmoréennes du vent qui s’irise et déborde d’un livre de lutte.
Le passant admirable étonné du pas ciselé de l’arbre nouant le front des lointains avec le joug requis de la rencontre ; éternité brassant l’infinité advenue de ce qui n’est pas encore ouvert au corps et à l’esprit, cette merveilleuse croisée où danse le choix immobile de la vie avec l’hérésie fusante de la nuit.
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