PLURIEL DE LA FLEUR
25
août
2015
Piège de l’orage lorsque s’éteignent les yeux du monde, lorsque pourpre se désarçonne le mal des eaux. Il ne faut rien reprendre aux risques du futur car celui qui revient est un cœur pacifié. N’être en rien semailles de l’épreuve dans ce pluriel de la fleur où la main relève l’écorce massive des hivers. N’être qu’un fragment de l’oiseau - dans le nid soleillé - le grand vase maintenu par les ailes de la nuit.
Le pont dans la venue de l’aurore
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