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SITE: FLAMME DE PLOMB PAUVRE COMME UN VERRE D'EAU

ANNA AKHMATOVA Ce n'est pas dans l'asphalte où tombent les feuilles Que tu devras longtemps m'attendre. C'est dans un adagio de Vivaldi. Que nous nous retrouverons. (Visite nocturne, traduction Jean-louis Backès)

LA MAIN PROLONGÉE - PATRICK TAFANI-MICHEL D'ANASTASIO

LA MAIN PROLONGÉE - PATRICK TAFANI-MICHEL D'ANASTASIO
LA MAIN PROLONGÉE - PATRICK TAFANI-MICHEL D'ANASTASIO

Retrouver le site et le travail merveilleux de calligraphie de Michel d'Anastasio : www.script-sign.com LA MAIN PROLONGÉE LIBRAIRIE OMBRES BLANCHES A TOULOUSE EXTRAITS PIERRE SOULAGES LE SOLEIL OUTRENOIR Soulages, et la lumière arrêtée par les étincelles, par la couche de froid, jadis et à présent, étirée sous un feu primordial, le noir ici n’est jamais noirceur mais beauté béante à travers l’aubier d’une nuit repliée. La texture semble se mouvoir en une longue et matricielle immobilité mais c’est déjà la controverse de cœur qui est plus frappante depuis que ce cœur a uni la nuit dans sa noble...

LA MAIN PROLONGÉE

LA MAIN PROLONGÉE
LA MAIN PROLONGÉE

Dernier ouvrage de Patrick Tafani : Librairie OMBRES BLANCHES à Toulouse Calligraphie de MICHEL D'ANASTASIO LA MAIN PROLONGÉE Patrick Tafani est poète, il suit des chemins et des mondes souvent ignorés des médiatiques. Il entre dans les terres de l’Inaperçu et y dépose son imaginaire, sa palette de feu et sa splendeur. Quelques-uns le héleront, d’autres préféreront leur destin d’ignorance ; c’est ainsi que les poètes viennent à nous, par une main prolongée. UNE EAU SCULPTÉE Il est possible que l’on soit englouti par son propre regard. Du pont il ne restait que deux piliers mais l’on se sentait...

FLAMME DE PLOMB PAUVRE COMME UN VERRE D'EAU

FLAMME DE PLOMB PAUVRE COMME UN VERRE D'EAU
FLAMME DE PLOMB PAUVRE COMME UN VERRE D'EAU

PATRICK TAFANI FLAMME DE PLOMB PAUVRE COMME UN VERRE D’EAU Dans la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue, j’ai retrouvé votre rue, j’ai retrouvé votre maison. Je sais vos aubes d’autrefois, je sais vos crépuscules immobiles jaillissant du seul ciel de vos ancêtres ; bleu de terre sur la façade orangée. Bien avant, j’avais appris vos prières sur le parchemin blanc d’une rivière encore inconnue. J’ai vu l’arbre, cette entrée étroite et l’escalier de pierre qui vous faisait monter jusqu’aux nuages ; vous le petit homme, toujours si haut dans le ciel avec vos mains et tout l’aspect voyageur de votre visage....

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